Je n'ai pas voulu ranger ce " sapin de Noël ". Je décide de le consacrer à la décoration Pascale.
Voici donc l'arbre de Pâques garni de petits œufs en verre de toutes les couleurs.
Les anneaux remplacent les traditionnels rameaux de noisetiers tortueux ou autres brindilles d'arbustes tout juste débourrées en ce début de printemps.
La petite étoile de Noël à son sommet fait le lien entre les deux fêtes.
Au final, cet œuf aura été très peu percé. Seuls le ventre et l’œil de l'oiseau ajourent la coquille. Les crayons suppléent le faible taux de perçage et apportent un peu de couleurs au tableau.
Exhumée de son album poussiéreux, cette petite collection de timbres renait et s'expose dans un tableau original. Dédiée à la faune aviaire, elle s'insère tout naturellement dans un gabarit ovale rappelant sans équivoque la forme d'un œuf.
C'est ainsi que contre toute logique l'oiseau déjà éclot retourne dans sa coquille.
" Je crèverai dans l’œuf ta panse impériale ! ".
Cette phrase accompagne cette étonnante caricature qui parodie un vers célèbre de Victor Hugo dans Hernani : " J'écraserai dans l’œuf ton aigle impériale ! ".
C'est une lithographie de Pierre Langlumé (1790 - 1830) conservée à la Bibliothèque Nationale de France.
L'intrépide Teddy Doeuf alias Ted Doeuf se prend pour un randonneur de l'extrême.
Il n'a pas froid aux yeux ! Quant à ses pieds, c'est une autre histoire. Il oublie chaussures, raquettes ou skis. Le voilà qui glisse sur la neige, ses bâtons ne parviennent pas à lui assurer un bon équilibre. Il imprime ses pieds, laisse échapper une phrase historique : << un petit pas dans la neige, un grand pas pour...>> il se ravise et ajoute même une autre empreinte dans la poudreuse ; celle de son visage.
Ted Doeuf le bien nommé devient l'instant d'une chute " Ted de linotte ".