Ils sont neuf œufs tout " n'oeuf ", du plus gros au plus petit ; autruche, émeu, oie, dinde, poule marrans, pintade, vanneau, caille et perruche ondulée.
Oubliées la perceuse et les fraises ; cette fois-ci, les coulures de trois peintures différentes feront l'affaire.
Trois couleurs qui dégoulinent de façon aléatoire sur la surface blanche d'un œuf de poule : c'est un exercice minimaliste de peinture facile à réaliser, mais agréable à l’œil.
Et si la simplicité était préférable à la complexité ?...Cet œuf tendrait à le prouver.
Photographié dans la pénombre crépusculaire, cet œuf de poule nous dévoile pudiquement ses motifs circulaires percés sur le pourtour de sa coquille. Sagement posé, il offre à nos regards curieux le rythme régulier des cercles qui décorent avec harmonie sa périphérie.
Nul besoin de techniques sophistiquées pour décorer un œuf. De simples gommettes peuvent suffire. Le résultat est satisfaisant et se prête à une décoration pascale digne de ce nom.